
Le mot de Anouk
Dès mon très jeune âge, j’ai accompagné mes parents sur les terrains de volleyball. En effet, Jean-Charles, mon père originaire de la Guadeloupe, a joué dans l‘équipe de France et a entraîné l’équipe de Suisse. Sandra Bratschi, ma maman d‘Anouk, a joué en LNA. J’ai donc appris à connaître ce sport dès mon plus jeune âge. En tant que junior, j’ai joué au club de volleyball de Köniz et en parallèle, l‘été au beachvolley. Après ma première saison indoor en NLA avec Sm‘Aesch Pfeffingen en tant qu‘attaquante, je me suis tournée vers le beachvolley en tant que professionnelle. J’aime également ce sport car lorsque qu’on joue à deux, chacune porte une plus grande responsabilité vis-à-vis de sa partenaire. Ceci implique une grande maîtrise de sa technique ainsi qu’un fort mental. En 2016, je joue ma meilleure saison et me qualifie pour les Jeux Olympiques de Rio de Janeiro. C’est ainsi qu’un de mes objectifs est devenu réalité mais le rêve d’une médaille est toujours d’actualité.